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être bien des pieds à la tête accueil navigation changement d’adresse d’elisabeth pull podologue de, posturologue. 25 août 2013 posté par une podologue en gironde dans : non classé , pédicurie , podologie , posturologie , santé du pied , ajouter un commentaire pour un meilleur accueil, le cabinet d’elisabeth pull, podologue, posturologue est transféré depuis le 1er juillet 2013, à 500m de sa précédente adresse, au 1er étage de la pharmacie. accessibilité aux personnes à mobilité réduite (ascenseur). parking facile, ligne de bus. 79 avenue de mérignac 33200 bordeaux caudéran 06 74 66 64 98 -- maladie mains-pieds-bouche 21 mars 2013 posté par une podologue en gironde dans : pédicurie , podologie , posturologie , santé du pied , ajouter un commentaire la maladie mains-pieds-bouche (mmpb) est une infection virale qui touche habituellement les bébés et les enfants. la mmpb peut engendrer une fièvre, une éruption cutanée accompagnée de cloques sur les mains et les pieds, de lésions dans la bouche, de maux de gorge et une perte d’appétit. la mmpb est contagieuse et elle se déclare souvent 3 à 7 jours après un contact avec une personne infectée. la maladie mains-pieds-bouche est causée par un groupe de virus appelés entérovirus . la mmpb se transmet aisément. elle peut se propager d’une personne à l’autre par contact direct avec les sécrétions du nez et de la gorge, avec la salive, les selles infectées ou le liquide d’une cloque. la mmpb débute habituellement par une légère élévation de la température et une fatigue généralisée. une éruption cutanée constituée de minuscules points rouges douloureux apparaîtra au bout de 2 ou 3 jours, et commencera à former des cloques et quelquefois des ulcères. ces taches sont susceptibles de siéger : à l’intérieur de la bouche (sur la langue, les gencives ou sur la face interne des joues) ; sur la paume des mains ou sur les doigts ; sur la plante des pieds ou sur les doigts de pied ; sur les fesses. les enfants et les adolescents sont plus fréquemment atteints. les garderies, les parcs, les écoles et d’autres endroits où les enfants jouent sont des lieux de transmission possible de l’infection. la mmpb se déclare plus communément l’été et au début de l’automne. pendant la phase aiguë, les sécrétions du nez et de la gorge d’une personne infectée peuvent contaminer d’autres personnes. les sécrétions émises par la toux et les éternuements peuvent faciliter la transmission du virus. on devrait considérer les cloques comme des foyers d’infection jusqu’à ce qu’elles soient sèches. le liquide des cloques contient du virus. le virus est également présent dans les selles pendant plusieurs semaines après la disparition des symptômes. l’apparition de lésions buccales est un signe commun à plusieurs affections, y compris à la mmpb. votre médecin établira le diagnostic en se basant sur votre âge, vos symptômes et un examen physique. il se peut qu’il fasse un prélèvement des sécrétions de la gorge pour exclure les infections bactériennes susceptibles de nécessiter des antibiotiques. la plupart des personnes qui sont atteintes de la maladie récupèrent en 7 à 10 jours spontanément ou avec un minimum d’aide médicale. il n’existe pas de traitement spécifique contre la mmpb. on peut donner des médicaments pour soulager les symptômes comme la fièvre et la douleur. les cloques guérissent généralement spontanément. Évitez de percer les cloques. de plus, le fait de toucher le liquide des cloques augmente le risque d’infecter les personnes qui vous entourent. il est préférable de ne pas toucher aux cloques. prenez contact avec votre médecin immédiatement, si votre enfant présente l’un des symptômes ci-après : des signes de déshydratation (une sécheresse de la bouche, de l’apathie, une perte de poids, pas d’émission d’urine depuis 10 à 12 heures) ; une raideur du cou ; une douleur dans le dos, les jambes et les bras ; des convulsions ; des maux de tête persistants. bien qu’on ne puisse prévenir l’infection, de bonnes pratiques d’hygiène peuvent réduire au minimum ce risque. vous pouvez prendre des mesures comme : lavez vos mains fréquemment – il importe particulièrement de vous laver les mains minutieusement après avoir changé la couche de votre bébé, car le virus est transmis par les selles ; nettoyez et désinfectez toutes les surfaces contaminées et les articles souillés ; évitez d’entrer en contact direct avec une personne infectée. -- l’ongle incarné 18 mars 2013 posté par une podologue en gironde dans : podologie , posturologie , santé du pied , ajouter un commentaire l’ongle incarné correspond à la pénétration du bord latéral de l’ongle dans les bourrelets latéraux entraînant une inflammation et éventuellement une infection de type granulome pyogénique au niveau du sillon péri-unguéal qui ne guérit jamais spontanément. synonymes: onychocryptosis, unguis incarnatus causes une mauvaise coupe de l’ongle est responsable dans 80% des cas d’ongles incarnés. pour la fraction résiduelle, les causes retrouvées peuvent être : des problèmes biomécaniques comme un arrière-pied valgus ou une insuffisance du premier rayon. une chaussure trop étroite. une chaussure ou chaussette trop courte. une chaussure fabriquée avec des matériaux trop rigides. une chaussure avec une empeigne (=partie de la chaussure qui recouvre l’avant-pied) pas assez haute. une hypertrophie du/des bourrelets. des déformations de la plaque unguéale (ongle en volute, en plicature, en tuile de provence,…). des déformations ou anomalies digitales (hallux valgus*, hallux érectus*, hallux limitus*, griffes d’orteils, supraductus*, infraductus*, hypermobilité du premier rayon, …). une cause traumatique : choc sur la plaque unguéale avec des possibilités d’esquilles une cause génétique ou héréditaire. une prise de médicaments (certains médicaments dans le traitement du psoriasis ou du hiv). bien que ce problème puisse toucher n’importe quel orteil, l’hallux reste – uni ou bilatéralement – l’endroit d’apparition privilégié. l’ongle incarné est fréquent chez l’adolescent masculin (ratio de 3 garçons/1 fille ) en prenant en considération que ces pieds sont le plus souvent enfermés dans des chaussures de sport (donc macèrent) et que la plaque unguéale est fine (donc plus tranchante). stades stade 1 : ongle incarné avec présence d’un éperon, gène purement mécanique, douleur intermittente stade 2: stade d’inflammation, douleur vive à la pression stade 3: stade de l’infection, douleur constante en diurne et nocturne stade 4: stade de botriomycome, douleur soit insupportable, soit absente par atteinte des terminaisons nerveuses lorsqu’au stade 4 il y a absence de sensations, il est préférable de consulter un chirurgien spécialiste dans la chirurgie du pied. diagnostic différentiel cor péri-unguéal (stade 1 de l’ongle incarné) exostose sous-unguéale (à écarter au moyen d’une radiographie) verrue péri-unguéale périonyxis (dû à candida albicans) pouvant être associé à l’ongle incarné traitements le traitement de l’ongle incarné est pluridisciplinaire à savoir podologique, médical et chirurgical. ce genre de traitement consiste la solution idéale pour le patient et assure une guérison rapide. traitement préventif ce traitement étiologique essaye d’éviter l’apparition (respectivement la récidive) de cette pathologie. il consiste en un moyen thérapeutique qui consiste à : couper les ongles régulièrement et de façon à éviter toute partie qui pourrait blesser. traiter les déformations de la plaque unguéale par orthonyxie. traiter les déformations d’orteils par orthoplastie, correctrice ou protectrice, ou par chirurgie. traiter les troubles stato-dynamiques par semelles fonctionnelles. traitement curatif ce traitement est à visée symptomatique et varie selon le stade avancé du problème unguéal. dans tous les cas (sauf pour le stade 4 avec absence de douleur), il faudra rectifier la coupe d’ongle à la recherche de l’éperon et dégager l’hyperkératose dans le sillon. remarque : il faut garder à l’esprit que le bourgeon réapparaîtra si on n’a pas enlevé toutes les parties conflictuelles de l’ongle avec le bourrelet. -- les verrues plantaires 16 mars 2013 posté par une podologue en gironde dans : pédicurie , podologie , posturologie , santé du pied , ajouter un commentaire les verrues sont de petites tumeurs bénignes d’origine infectieuse ou virale. le virus s’introduit sous la peau, par une petite fissure ou une blessure parfois invisible à l’œil nu. si le virus n’est pas neutralisé par le système immunitaire , il déclenche une multiplication des cellules à un endroit bien précis. l’exposition au virus ne fait pas apparaître automatiquement des verrues, car le système immunitaire de chacun réagit différemment et peut être plus ou moins efficace pour combattre ce virus. en moyenne, il s’écoule de 2 à 6 mois entre l’exposition au virus et l’apparition des verrues. c’est ce qu’on appelle la période d’ incubation . cependant, certaines verrues peuvent rester « dormantes » durant des années. chez une personne infectée, les verrues peuvent aussi se propager d’une partie à l’autre du corps. on dit qu’elles sont autocontagieuses . il faut éviter de gratter ou de faire saigner une verrue, car cela augmente le risque qu’elle se propage. donc, très contagieuses et auto inoculables, elles sont souvent douloureuses car elles se développent en regard des points d’appui (talon, avant pied, orteils). quels sont les facteurs favorisants leur développement ? l’environnement les milieux humides tels que les piscines ou les vestiaires sont propices à leur transmission car ils permettent la dilatation des pores cutanés. les verrues s’enchâssent ainsi plus facilement dans le derme et de se développer au détriment de celui-ci. le patient les enfants dont le système immunitaire n’est pas totalement développé sont particulièrement réceptifs. on estime qu’un enfant sur deux en aura un jour. chez l’adulte les verrues de développent plus difficilement et touchent en moyenne une personne sur cinq. certains facteurs toutefois favorisent leur apparition (immuno dépression, fatigue, stress, manque de magnésium). comment les reconnaître et quels sont les traitements ? il existe une centaine de virus différents, les verrues peuvent donc avoir de nombreux aspects. fréquemment, on en rencontre toutefois deux types : les verrues ponctuelles appelées myrmecies. en forme de clou, elles pénètrent profondément dans la peau et sont très douloureuses. souvent confondues avec des cors plantaires leur taille varie de quelques mm à 1 cm. les verrues mosaïques c’est un ensemble de verrues siégeant sur la face plantaire du pied. peu profondes et recouverte d’une couche de peau morte, elles sont souvent peu douloureuses et peuvent être confondues avec des durillons. chez l’enfant les verrues disparaissent souvent spontanément au bout de quelques mois. chez l’adulte les disparitions spontanées sont moins fréquentes mais peuvent intervenir suite au traitement des facteurs favorisants. dans tous les cas, le risque d’auto contamination, de contagion et la douleur imposent une prise en charge thérapeutique dès qu’elles sont diagnostiquées. les différents traitements locaux (azote, acide glycolique) sont généralement très efficaces si ils sont appliqués avec régularité jusqu’à la disparition totale de la verrue, c’est pourquoi une prise en charge par un professionnel de santé (podologue, médecin) est recommandée. en cas de gêne à la marche, il est conseillé de porter une paire de semelles orthopédiques thermoformées avec des zones de décharge en regard des verrues afin d’éviter la douleur. le podologue est le meilleur spécialiste pour soigner une verrue, un cor ou un durillon. en france, le pédicure-podologue est diplômé d’État. l’article 2 du décret du 19 juin 1985 autorise les podologues à diagnostiquer et traiter : les hyperkératoses mécaniques ou non, d’étiologie et de localisations diverses, les verrues plantaires, les ongles incarnés, onychopathies mécaniques ou non, et les autres affections épidermiques ou unguéales du pied, à l’exclusion des interventions impliquant l’effusion de sang. vous pouvez demander à votre podologue de traiter votre verrue. -- les varices des membres inférieurs 12 mars 2013 posté par une podologue en gironde dans : pédicurie , podologie , posturologie , ajouter un commentaire la varice est une dilatation anormale, permanente, plus ou moins superficielle, de la paroi veineuse. les varices apparaissent dans le cadre d’une pathologie plus vaste : l’insuffisance veineuse chronique dont elles constituent le principal symptôme. en général, elles ont été précédées par des signes comme la sensation de pesanteur des jambes, des picotements, des problèmes de sensibilité (paresthésies) et même par des œdèmes. origine : cette maladie, dégénérative de la paroi veineuse, est plus fréquente chez le sujet âgé et chez la femme. on distingue deux situations : - origine connue : maladie de la paroi après une phlébite - varice apparaissant après des stations debout prolongées (coiffeur, commerçants, …), un accouchement, une contraception hormonale œstrogénique, la ménopause, le chauffage par le sol…. et comment ça s’explique au niveau des parois veineuses ? il y a une altération des fibres collagènes de la paroi veineuses par des enzymes sécrétées lors de phénomènes inflammatoires et par l’action des hormones œstrogéniques. les fibres collagènes n’apportent donc plus de soutien aux fibres musculaires lisses. celles-ci vont alors se pelotonner, la paroi veineuse va se dilater et former les varices. et comment ça se présente à l’observation ? pour les varices superficielles : dilatation veineuse. pour les varices profondes : jambes lourdes, paresthésie, crampes musculaires, douleur à la palpation du mollet le long des axes veineux. les varices profondes sont souvent accompagnées de varices superficielles et on verra alors une dilatation veineuse. si ce n’est pas le cas, la certitude est alors établie par un doppler ou un écho-doppler. les varices sont souvent accompagnées d’autres manifestations physiques : œdème veineux, eczéma, dermite ocre. attention aux complications ! pour les varices superficielles : phlébite superficielle, rupture de varice avec hémorragie abondante, ulcère variqueux. pour les varices profondes : thrombophlébite (formation d’un caillot surtout s’il y a des facteurs favorisants) et ulcère variqueux. les traitements : tout d’abord préventif : traitement précoce et efficace d’une thrombophlébite qui permet d’éviter une insuffisance veineuse chronique secondaire. traitement précoce et efficace d’une insuffisance veineuse chronique avant le stade de varice. et ensuite curatif : traitement de l’insuffisance veineuse chronique (ivc) traitement local : ains, veinoprotecteur kinésithérapie pour améliorer l’ivc Éveinage (stripping) cryochirurgie en conclusion: pour le pédicure podologue, la présence de varice témoigne d’une trophicité ( santé) médiocre du membre inférieur d’où des précautions pour les soins pédicuraux et pour la confection des orthèses. la présence de varices est souvent associée à des problèmes articulaires de type arthrosique surtout au niveau du genou : les orthèses plantaires peuvent freiner partiellement l’évolution de cette pathologie arthrosique ce qui a un retentissement sur l’insuffisance veineuse chronique associée. puis, pour plus d’informations sur le soin podologique, lisez sur mon blog « podologieengironde » les articles œdèmes des membres inférieurs, jambes et pieds gonflés, artérite des membres inférieurs … -- les premières chaussures de bébé posté par une podologue en gironde dans : pédicurie , podologie , posturologie , santé du pied , ajouter un commentaire rapidement, dès les premiers mois de la vie, maman adore choisir des chaussons ou « des adorables petites chaussures » pour compléter l’habillement de bébé. avant la marche, les chaussures restent des accessoires purement esthétiques. il faut néanmoins veiller à ce que bébé n’ait pas les doigts de pieds comprimés. les matières naturelles sont à privilégier (laine, toile, peau), elles laissent la peau respirer et elles tiennent bien chaud l’hiver ! pas de chaussures sans chaussettes, surtout quand il fait chaud ! c’est quand votre bébé se met debout tout seul que les chaussures deviennent indispensables. leur rôle principal est de le protéger contre les coups et blessures dus à des agents extérieurs. elles assurent également un bon maintien des pieds, indispensable quand bébé n’est pas très tonique, sa musculature n’étant pas encore suffisamment développée. il ne faut pas s’inquiéter s’il est un peu long à se mettre en route, un enfant se met à marcher quand il est prêt, entre 9 et 18 mois ! lorsqu’il fait chaud, les pieds peuvent avoir tendance à gonfler, comme vous avez certainement pu le constater pour vous-même. blessures et cloques risquent d’apparaître avec les frottements. autre point important, sans chaussettes, la transpiration n’est pas absorbée et la macération peut entraîner des mycoses surtout si les chaussures sont en matière synthétique. on privilégie donc les chaussettes en coton, pas trop serrées pour laisser bouger les doigts de pieds, ni trop larges afin de ne pas compresser le pied dans la chaussure. comment faire le bon choix ? les critères essentiels : la chaussure doit avant tout être adaptée à la forme du pied qu’il soit fin, fort ou large. si bébé est très dynamique, elles peuvent être hautes ou basses, cela n’a pas d’importance. en revanche s’il n’est pas très tonique, il vaut mieux privilégier un modèle montant pour le maintenir. on peut trouver de bonnes chaussures à tous les prix. il faut privilégier les matières naturelles, (cuir, toile) et s’assurer qu’il n’y a pas de coutures gênantes à l’intérieur. l’enfant doit pouvoir marcher et courir avec aisance, les chaussures ne doivent donc pas être trop lourdes. quant aux semelles, on les choisit antidérapantes, souples et non compensées afin d’assurer un bon déroulé du pas. la bonne pointure : des réglettes de mesure, très fiables, sont à la disposition des parents chez les marchands de chaussures. si l’enfant est entre deux tailles, il vaut mieux opter pour la plus grande et toujours faire un essayage quand votre enfant est debout, afin de juger au plus juste la place occupée par le pied. les chaussures à scratch : hyper pratiques, elles permettent aux tout petits de se chausser seuls et conviennent à tous les enfants. un seul bémol pour les plus fins. dans ce cas, les modèles à scratch ne maintiennent pas toujours suffisamment, et le pied a tendance à « flotter ». a vérifier lors de l’essayage. les baskets : comme tout autre modèle, elles doivent épouser parfaitement la forme du pied. ensuite, tout est question de bon sens. si elles sont en matière synthétique, il est préférable d’alterner avec une paire de chaussures en cuir, sans oublier les chaussettes ! -- les pieds et le ski : le conseil du podologue. 3 mars 2013 posté par une podologue en gironde dans : pédicurie , podologie , posturologie , santé du pied , ajouter un commentaire ************* tout d’abord, la première question qui se pose est : est-ce que les chaussures sont à la bonne taille et bien adaptées? si non, il faut changer de chaussures. si oui, alors on peut passer au stade suivant. la correction d’éventuels troubles statiques, dynamiques et posturaux par le biais de semelles de correction, ou dans certains cas d’une séance d’ostéopathie ou de kinésithérapie. il est bon de prévoir un bilan posturologique sur « une platine de pression » chez un posturologue équipé. en effet des troubles d’appui de l’avant-pied vont provoquer une instabilité du pied en général (puis du genou…) et vont induire avec le temps des crampes et des frottements contre le chausson. donc si les troubles statiques de l’avant-pied ne sont pas corrigés, les crampes et les frottements ne cesseront pas. il en est de même pour une douleur en regard de l’os naviculaire qui peut être provoquée par un pied plat ou une instabilité calcanéenne (talon qui se lève) provoquée par un blocage de l’articulation de la tibiotarsienne. moulage d’un chausson thermoformé afin d’épouser au mieux la forme anatomique du pied. si la correction des différents troubles posturaux ne soulage pas complètement les douleurs, alors dans ce cas il faudra réaliser un chausson thermoformé, avec possibilité de placer des « paddings » sur le pied afin d’augmenter les compressions pendant la phase de moulage. de cette manière du volume apparaîtra au niveau des zones anatomiques désirées. déformation des coques, c’est-à-dire de la chaussure de ski, afin de générer du volume. si les déformations anatomiques d’un pied sont trop importantes et que les corrections des troubles statiques ainsi que le façonnage de chaussons ne suffisent pas, dans ce cas la déformation des coques en regard des zones concernées peut être appliquée. cette manipulation sur la chaussure de ski (ou autre chaussant à contrefort rigide) est à faire en dernier recours car elle est irréversible et avant la première neige du fait des délais de confection des modifications. dans tous les cas, un examen podologique et postural par un podologue sera d’une aide appréciable avant toute prise en charge « agressive » capable d’aggraver ou de compromettre la stabilité du pied et plus généralement, des membres inférieurs. -- traitements du cor : 27 février 2013 posté par une podologue en gironde dans : pédicurie , podologie , posturologie , santé du pied , ajouter un commentaire le soin podologique la procédure de l’exérèse du cor sera pratiquement identique à celle de l’hyperkératose. on fera attention lors de l’ablation, tout en évitant le saignement. le soulagement sera quasi immédiat pour le patient. cependant, il faut garder à l’esprit que la fréquence d’apparition sera assez rapide et donc on devra se diriger vers un traitement plus durable, notamment le traitement par orthoplastie. le padding souvent employé en attendant la réalisation d’une orthoplastie, le padding constitue un traitement temporaire. il va protéger les tissus mous des conflits et ralentir le processus de kératinisation. les orthoplasties dans ce cas de figure, il existe deux types d’orthoplasties utilisables : l’orthoplastie protectrice et l’orthoplastie correctrice, toutes les deux réalisées en silicone et moulées sur le pied du patient. l’orthoplastie protectrice, va protéger les tissus mous des « agressions » de la chaussure ou l’articulation d’un autre orteil par exemple. on l’utilisera pour des déformations articulaires irréductibles*. l’orthoplastie correctrice, visant la correction d’une déformation d’orteil, sera utilisée dans le cas d’une griffe réductible ou d’un supraductus (un orteil passant au-dessus de l’orteil voisin) par exemple. -- traitements de l’hyperkératose plantaire posté par une podologue en gironde dans : pédicurie , podologie , posturologie , santé du pied , ajouter un commentaire le soin podologique le soin a comme priorité de soulager le patient de ses douleurs. le prérequis devra être une asepsie du champ de travail ainsi que des instruments. l’ablation se fera, selon la préférence et la dextérité du praticien, à l’aide du bistouri, du micromoteur ou de la turbine. un passage avec de l’alcool ou de l’hibitane® (solution de chorhexidine à 5%), sur le pied avant et après l’intervention est nécessaire pour éviter au maximum le risque d’infections. le soin est un traitement symptomatologique. le padding ce « coussin », généralement en feutre, va protéger des zones spécifiques, sensibles du durcissement par les kératoses. s’il est à visée correctrice, il va améliorer une position pathologique. le padding ne restera en place que temporairement dans l’attente d’un moyen de traitement plus permanent, comme par exemple des semelles podologiques. les semelles podologiques souvent, comme nous l’avons vu plus haut, la cause d’apparition des hyperkératoses est un dysfonctionnement biomécanique. de part ce fait, l’équilibre des appuis plantaires n’est plus assuré. les semelles podologiques prendront en charge ce fait en corrigeant la position du pied et en redonnant un schéma de marche le plus idéal possible. -- les kératopathies posté par une podologue en gironde dans : pédicurie , podologie , posturologie , santé du pied , ajouter un commentaire les kératopathies sont des lésions de la peau qui apparaissent en tant que mécanisme de protection contre un stress mécanique. la peau se durcit à ces endroits – effet de l’accélération du processus de kératinisation – et peut causer, après un certain temps, un inconfort voir une douleur. le stress mécanique, « dont la friction est un élément capital » peut se faire en traction, en compression ou en torsion. les causes on ne décrira les étiologies (causes), restant les mêmes pour l’hyperkératose plantaire et le cor, qu’une seule fois. une chaussure mal adaptée qui peut être trop grande, trop petite ou avoir une hauteur d’empeigne insuffisante et donc encourager des zones de pression ou de friction excessives. une mauvaise fonction du pied, cause d’une déformation de celui-ci du type orteil en griffe, hallux valgus, exostose, pied plat ou pied creux. une peau sèche. les localisations tout en gardant à l’esprit que les hyperkératoses peuvent se former à tout endroit d’hyperpressions, les endroits d’apparition les plus fréquents seront la région sous les têtes métatarsiennes et de la face latérale de l’articulation interphalangienne pour l’hyperkératose plantaire. les cors apparaissent souvent sur la partie dorsale de l’articulation interphalangienne proximale et/ou au niveau de la partie plantaire de l’articulation interphalangienne distale, mais peuvent également être localisés au niveau de la pulpe des orteils, en interdigital, en péri ou sous-unguéal. traitements avertissement : dans tous les cas, il faudra prendre conseil auprès d’un professionnel afin de de faire le diagnostic exact de la lésion et de déterminer le meilleur des traitements pour solutionner le mal. les traitements étant différents pour l’hyperkératose plantaire et le cor, on pourra les « partager » en un traitement qui prend en considération les causes des lésions et un traitement qui s’occupe des effets. nous allons découvrir ces idées plus loin lors d’explications plus concrètes. ces traitements, pour avoir une efficacité optimale, devront être combinés au maximum. traitements de l’hyperkératose plantaire : le soin podologique le soin a comme priorité de soulager le patient de ses douleurs. le prérequis devra être une asepsie du champ de travail ainsi que des instruments. l’ablation se fera, selon la préférence et la dextérité du praticien, à l’aide du bistouri, du micromoteur ou de la turbine. un passage avec de l’alcool ou de l’hibitane® (solution de chorhexidine à 5%), sur le pied avant et après l’intervention est nécessaire pour éviter au maximum le risque d’infections. le soin est un traitement symptomatologique. le padding ce « coussin », généralement en feutre, va protéger des zones spécifiques, sensibles du durcissement par les kératoses. s’il est à visée correctrice, il va améliorer une position pathologique. le padding ne restera en place que temporairement dans l’attente d’un moyen de traitement plus permanent, comme par exemple des semelles podologiques. les semelles podologiques souvent, comme nous l’avons vu plus haut, la cause d’apparition des hyperkératoses est un dysfonctionnement biomécanique. de part ce fait, l’équilibre des appuis plantaires n’est plus assuré. les semelles podologiques prendront en charge ce fait en corrigeant la position du pied et en redonnant un schéma de marche le plus idéal possible. traitements du cor : le soin podologique la procédure de l’exérèse du cor sera pratiquement identique à celle de l’hyperkératose. on fera attention lors de l’ablation, tout en évitant le saignement. le soulagement sera quasi immédiat pour le patient. cependant, il faut garder à l’esprit que la fréquence d’apparition sera assez rapide et donc on devra se diriger vers un traitement plus durable, notamment le traitement par orthoplastie. le padding souvent employé en attendant la réalisation d’une orthoplastie, le padding constitue un traitement temporaire. il va protéger les tissus mous des conflits et ralentir le processus de kératinisation. les orthoplasties dans ce cas de figure, il existe deux types d’orthoplasties utilisables : l’orthoplastie protectrice et l’orthoplastie correctrice, toutes les deux réalisées en silicone et moulées sur le pied du patient. l’orthoplastie protectrice, va protéger les tissus mous des « agressions » de la chaussure ou l’articulation d’un autre orteil par exemple. on l’utilisera pour des déformations articulaires irréductibles*. l’orthoplastie correctrice, visant la correction d’une déformation d’orteil, sera utilisée dans le cas d’une griffe réductible ou d’un supraductus (un orteil passant au-dessus de l’orteil voisin) par exemple. -- 1 2 3 4 5 ... 8 recherche archives changement d’adresse d’elisabeth pull podologue de, posturologue. maladie mains-pieds-bouche l’ongle incarné les verrues plantaires les varices des membres inférieurs les premières chaussures de bébé les pieds et le ski : le conseil du podologue. traitements du cor : traitements de l’hyperkératose plantaire les kératopathies les phlyctènes de friction synonymes: ampoules, cloques les pieds et le ski : le conseil du podologue. comment traiter les jambes lourdes et les pieds gonflés? les indications d’un bilan postural l’importance de la podologie dans la maladie de charcot marie tooth les entorses de cheville: les traitements podologiques avec le froid, les engelures deviennent un problème. les douleurs du pied chez l’enfant les douleurs du pied chez l’adulte les bienfaits de la réflexologie plantaire les algodystrophies réflexes du pied et des membres inférieurs le podologue face à la scoliose et l’attitude scoliotique le pied plat synostique de l’enfant le pied plat valgus de l’enfant le pied plat hypotonique de l’enfant le pied plat chez l’enfant le podologue et le pied du marcheur la prévention des complications du pied diabétique. le pied diabétique le pied d’athlète : mycose cutanée, tinea pedis, intertrigo digital le névrome de morton la polyarthrite 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